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Crampons
Elles sont étudiante, assistante vétérinaire ou comptable, elles sont très féminines et elles jouent au foot. Elles, ce sont les quatre-vingt-dix footballeuses de l’ASPTT Vannes, des U13 aux seniors, qui préparent la venue de la Coupe du monde féminine des U20 en Bretagne.
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Des artisans d’art en magasin !
Meubles et Compagnie, c’est un peu plus qu’une très jolie boutique qui propose des meubles et des objets de décoration. C’est aussi l’atelier de deux artisans d’art, d’une tapissière d’ameublement et d’un ébéniste. Un mélange étonnant pour un résultat bluffant.
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« Carnivores »
« Carnivores », c’est l’histoire de Mona, une jeune femme qui rêve depuis toujours de devenir comédienne. Au sortir du conservatoire, elle est promise à un brillant avenir, mais c’est Sam, sa sœur cadette, qui se fait repérer et devient rapidement une actrice de renom. Un thriller réalisé en tandem par Jérémie et Yannick Renier. Deux frères, également acteurs et réalisateurs, qui se sont assis sur le divan de Jean-Jacques Lester pour une interview en forme de psychanalyse dans « Action, le mag ciné » de France Bleu.
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LUNETTES : Roses, métal, bleutées – pourvu qu’elles soient rondes !
Imper imprimé floral / Helen’s • 11 Rue Martin Luther King, La Chapelle-sur-Erdre Lunettes solaires rondes / Lu.net • 14 Rue Boileau, Nantes Chemisier / Helen’s • 11 Rue Martin Luther King, La Chapelle-sur-Erdre Lunettes solaires bleutées / La FabriQ • 14 Rue Mercoeur, Nantes Marinière rouge / Saint James • 17 Rue de la Barillerie, Nantes Lunettes de vue rondes modèle Fanny couleur métal rose par Nathalie Blanc / Le Comptoir du Lunetier • 86 Boulevard Robert Schuman, Nantes Impar / HIGH • 3 Rue Fanny Pecot, Nantes Lunettes de vue rondes / Le Comptoir des Binocles • 1 Route de Clisson, Nantes
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Revival 80
Découvrez notre sélection d’accessoires de sport femmes, à travers quatre tenues pour différentes disciplines, danse, course, fitness, yoga!
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Rock !
Quand on lui a proposé de faire rentrer le rock par la grande porte au château, Laurent Charliot, l’inlassable historien du rock nantais, a peut-être été surpris, mais il n’a pas hésité longtemps. “Pour moi, le château, c’est l’endroit où j’allais gamin pour voir la coiffe d’Anne de Bretagne, s’amuse le commissaire de l’exposition. Mais on m’a expliqué que la mission, ici, c’était de mettre en avant le patrimoine. Tous les patrimoines”. Et pour lui, pas de doute, le rock fait partie du patrimoine immatériel de la ville. L’expo commence gentiment au temps des défricheurs et des toutes premières guitares électriques, puis s’étale dans le temps, sans refaire l’histoire. Nantes…