Découverte des tendances
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Pluume
Des sacs féminins pop mais pas too much, classiques mais pas ringards, voilà ce que propose Clémentine Lacroix avec sa marque Pluume. Elle prône surtout une démarche éthique et ne veut pas sacrifier ses valeurs.
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Ffil
Des sacs en cuir à monter soi-même. L’idée est un peu décalée, ludique. Et pas si folle que ça. Claire Batardière a commencé à travailler sur ce concept lorsqu’elle suivait des études de stylisme à l’école Duperré, à Paris. De cette idée découle toute une philosophie qui aboutit à la faculté de créer et fabriquer en France. « Le système de conception à plat limite la main d’œuvre, explique-t-elle. Cela permet de conserver du savoir-faire et de faire travailler les entreprises de notre pays ». À l’arrivée, les sacs se font et se défont très facilement, ce qui permet – au passage – de pouvoir en glisser un – ou plusieurs –…
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La création
Elles cousent des robes, fabriquent des chaussures ou des bijoux. Trois femmes et trois parcours différents, mais un objectif : créer. Créer et fabriquer sur place, à Vannes ou à Auray. Toutes se heurtent aux mêmes difficultés : gérer seules ou presque toutes leurs activités, de la création à la fabrication, en passant par la vente et la gestion. Plus qu’un métier, un sacerdoce, mais aussi une aventure incroyable, celle de faire exister des objets qui portent leur vision. La création de vêtements ou de chaussures, qu’on pensait à jamais disparue localement, semble aujourd’hui possible. Des produits un peu plus cher, certes, mais aussi durables et uniques, qui viennent proposer…
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Le Bruit des Vagues :
Après une première adresse à Vannes et une deuxième à Quiberon, Le Bruit des Vagues a déménagé sa boutique de Port Maria, devenue trop petite, vers la rue de Verdun à Quiberon. Deux boutiques quiberonnaises et deux univers différents.
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Louis Vuitton
Louis Vuitton va ouvrir un nouvel atelier de confection, cet été, à La Merlatière (Vendée). Puis un autre, début 2019, à Beaulieu-sur-Layon (Maine-et-Loire). Les recrutements ont déjà commencé.
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Morta
« Je transmets une histoire. L’histoire de la Brière, celle d’il y a cinq mille ans ». Le morta, c’est un bois qui a commencé à se fossiliser. Du chêne venant tout droit de l’époque des hommes préhistoriques qui a été conservé dans la tourbe du marais de Brière. Un matériau unique. « Quand on a un morceau de morta dans les mains, on arrive à s’imaginer cette immense forêt de chênes. On remonte le temps. C’est un bois magique ». Hélène Jacquot n’est pas la première de sa famille à s’intéresser à ce bois. Son mari, Jean-Henri Pagnon, a, le premier, entrepris de le mettre en lumière en façonnant avec ce matériau des…