Chroniques
-
Inattendu. Ce jour où j’ai rencontré mon lecteur idéal
Récemment, je me suis rendue dans un office notarial afin de faire rédiger un contrat de mariage. Assis dos à la fenêtre dans son bureau rempli de tableaux, le notaire – un homme de cinquante-neuf ans portant un gilet d’intérieur en velours côtelé – nous a exposé avec verve les différentes options qui s’offraient à nous, faisant preuve d’une maîtrise qui, pour être administrative et financière, n’en était pas moins fascinante. Comme c’était la première fois que nous nous rencontrions, le notaire nous a demandé de décliner nos professions. Nous lui avons répondu, et il s’est alors passé une chose assez inédite pour être soulignée : en un instant, c’est comme…
-
Édito. Les promesses de l’été
À l’heure où l’on tombe le masque et où la nuit nous appartient de nouveau, on a envie de se faire des promesses. Retrouver un peu d’insouciance et de liberté. Aller au ciné, aux concerts, au resto, au bistro, à la piscine, à la mer. Faire du shopping et s’arrêter boire un café en terrasse. Toutes ces petites libertés, ces petits plaisirs dont on ne prend réellement conscience que lorsque nous en sommes privés. Une bataille de plus a été remportée depuis que cette phrase, « Nous sommes en guerre », a été prononcée un soir d’hiver 2020 à la télévision. Simple accalmie ou véritable armistice ? L’automne nous le dira. En…
-
L’appel de l’océan, la promesse de l’évasion.
Nous avons été nombreuses et nombreux à le ressentir ces derniers mois. Porter le regard sur cette immensité qui nous connecte au monde entier. À une période où l’ailleurs devient inaccessible, la côte française attire. Vivre à quelques minutes de la plage, avaler le remblai à grands coups de pédales, arpenter les sentiers côtiers qu’il vente ou qu’il pleuve. Cette promesse d’évasion de l’océan ébranle les habitudes les plus ancrées. Les résidences secondaires deviennent permanentes ou semi-permanentes. Nos vies changent. Nous consacrons une large plage (sic) de ce magazine à cette envie de venir vivre au bord de la mer. Non plus dans une station balnéaire mais dans une « ville…
-
Une journée dans Nantes avec Sophie Laplaud de A Dress Collection
Nous avons passé une journée pleine de vie et de rencontres avec Sophie Laplaud, fondatrice et gérante du showroom A Dress Collection (location de robes pour les grandes occasions). On vous emmène ! Matinée haute en couleur et couture Début de journée dans le spacieux showroom de HIGH, la boutique haute couture du quotidien. Avec l’aide de Karine, l’une des responsables de la boutique, nous avons imaginé différentes tenues à partir des pièces de la nouvelle collection. Du jean à la robe, on s’est bien amusées ! À table chez Hawa Bowls À l’heure du déjeuner, nous avons rejoint le nouveau restaurant Hawa Bowls, qui propose des poke bowls inspirés d’Hawaï…
-
Les coups de cœur du printemps des Petites Nantaises
Les Petites Nantaises, le groupe Facebook de près de 11 000 membres qui s’adresse aux Nantaises, les futures, les « pure souche » ou les fraîchement débarquées, partage encore une fois avec vous ses bonnes adresses, les événements à ne pas rater et les nouveaux concepts à encourager… Alors, vous nous suivez ? Au Petit Grenier La mercerie aux valeurs ajoutées Delphine lance cette année une recyclerie spécialisée en textile et mercerie. Sa particularité ? Employer des jeunes en situation de handicap (autisme, déficience intellectuelle…). Si vous souhaitez contribuer à votre échelle à ce joli projet, des bénévoles récoltent vos dons de matériel de mercerie, chutes de tissus et autres nappes de « mémés » dont vous cherchez…
-
Trente numéros. Ça se fête !
Trente numéros. Ça se fête. C’est pour ça, mais aussi pour fêter le printemps et – espère-t-on – la levée de toutes les contraintes qui pèsent sur nous depuis des mois, que nous vous proposons un numéro plein de fraîcheur et d’envies. On s’intéresse à la passion numéro 1 des Français (après la randonnée et les fondants au chocolat) : l’immobilier. Un marché qui est comme la saison : il commence à chauffer. Un peu trop sans doute. Ce n’est pas bon (non plus) pour nos enfants. Même Julia Kerninon se met à rêver d’immobilier dans sa chronique. C’est un hasard – heureux – qui en dit long sur l’air…