-
Édito. Les promesses de l’été
À l’heure où l’on tombe le masque et où la nuit nous appartient de nouveau, on a envie de se faire des promesses. Retrouver un peu d’insouciance et de liberté. Aller au ciné, aux concerts, au resto, au bistro, à la piscine, à la mer. Faire du shopping et s’arrêter boire un café en terrasse. Toutes ces petites libertés, ces petits plaisirs dont on ne prend réellement conscience que lorsque nous en sommes privés. Une bataille de plus a été remportée depuis que cette phrase, « Nous sommes en guerre », a été prononcée un soir d’hiver 2020 à la télévision. Simple accalmie ou véritable armistice ? L’automne nous le dira. En…
-
L’appel de l’océan, la promesse de l’évasion.
Nous avons été nombreuses et nombreux à le ressentir ces derniers mois. Porter le regard sur cette immensité qui nous connecte au monde entier. À une période où l’ailleurs devient inaccessible, la côte française attire. Vivre à quelques minutes de la plage, avaler le remblai à grands coups de pédales, arpenter les sentiers côtiers qu’il vente ou qu’il pleuve. Cette promesse d’évasion de l’océan ébranle les habitudes les plus ancrées. Les résidences secondaires deviennent permanentes ou semi-permanentes. Nos vies changent. Nous consacrons une large plage (sic) de ce magazine à cette envie de venir vivre au bord de la mer. Non plus dans une station balnéaire mais dans une « ville…
-
Trente numéros. Ça se fête !
Trente numéros. Ça se fête. C’est pour ça, mais aussi pour fêter le printemps et – espère-t-on – la levée de toutes les contraintes qui pèsent sur nous depuis des mois, que nous vous proposons un numéro plein de fraîcheur et d’envies. On s’intéresse à la passion numéro 1 des Français (après la randonnée et les fondants au chocolat) : l’immobilier. Un marché qui est comme la saison : il commence à chauffer. Un peu trop sans doute. Ce n’est pas bon (non plus) pour nos enfants. Même Julia Kerninon se met à rêver d’immobilier dans sa chronique. C’est un hasard – heureux – qui en dit long sur l’air…
-
C’est la fin de l’année 2020 et on est encore là !
On a dû le refaire. Produire un magazine en plein confinement. Aller chercher les plus belles pièces et les nouvelles collections dans des magasins fermés. Tout cela a été possible grâce à nos partenaires. Comme nous, ils ont décidé que ce nouvel arrêt forcé n’allait pas nous empêcher d’avoir envie d’avancer. Pour ce numéro d’hiver, nous avons eu envie de nous offrir et de vous offrir un bol d’air. Il a été en partie réalisé sur la côte, dans la baie de La Baule. Un changement de ligne d’horizon qui fait du bien et qui invite à se dire que tout cela va avoir une fin, que le mouvement va…
-
Au revoir 2020. On ne te retient pas !
Annus Horribilis. Les latinistes et les fans d’Elisabeth II auront immédiatement reconnu ce terme. 2020, année horrible, on ne te retient pas. Même si on va s’en souvenir. Plutôt que de sombrer dans une morosité catastrophiste, dans ce nouveau numéro d’Urbanne, nous avons voulu mettre en avant ceux qui avancent. Qui créent. Qui ont des valeurs. Des usines de Multiplast à un atelier d’ébéniste de la ria d’Étel, des bougies vannetaises Geodesis aux parfums Bienvenue en Bretagne, nous sommes allés à la rencontre de ceux qui avancent contre vent et marées. Ceux qui ont quelque chose à dire, qui ont un regard sur le monde, comme les écrivains qui viennent…